lundi 24 septembre 2018

SÉRIE / The Bold Type



L'automne étant officiellement arrivée, il est de nouveau socialement accepté de passer ses soirées recroquevillé sous un plaid, avec une tasse de chocolat chaud/thé/café/whisky Pure Feu. C'est aussi la période où de nombreuses séries reprennent ("Insecure", "Atypical", "The Good Doctor", "Riverdale" etc.). Pour ma part, j'ai eu envie d'en commencer une nouvelle cet été et il se trouve que "The Bold Type" figurait depuis déjà un bon moment dans le top 10 des séries regardées sur mon site de streaming. Honnêtement, j'avais simplement envie d'un divertissement sans prise de tête et pour ça, le synopsis me paraissait adéquat.

En effet, l'histoire prend pied auprès de trois amies : Kat, Jane et Sutton , qui ont environ 25 ans et travaillent au sein de la rédaction du magazine féminin "Scarlet". Évidemment cette simple description m'a renvoyé automatiquement à des références basées sur le même sujet : "Ugly Betty", "Le diable s'habille en Prada"... Je pensais donc tomber sur du déjà vu, sympathique et divertissant certes, mais que je zapperai dès le dernier épisode achevé ! C'est d'ailleurs la raison pour laquelle j'ai mis tant de temps à m'y mettre. En plus, selon moi l'affiche ne sert pas vraiment positivement la série et c'est bien dommage. Ils ont fait le choix d'un visuel hyper girly, qui reprend tous les codes du genre. Pourtant la série pourrait gagner en visibilité si les visuels officiels ciblaient un public plus large. Car, vous allez vite le comprendre, "The Bold Type" mériterait d'être vu, peu importe notre sexe.  

J'ai donc lancé le premier épisode sans avoir d'attente particulière. Du coup, quelle ne fût pas ma surprise quand, au lieu de clichés superficiels à base de talons aiguilles et de patronne infâme, j'ai été plongé dans des réflexions féministes et d'empowerment.
source : Konbini
Certes, nous avons un contenant très codifié : les coulisses d'un grand magazine de mode. Mais il dessert un contenu extrêmement varié avec un fil rouge : comment les femmes de notre génération peuvent prendre leur place dans la société et dans le monde du travail actuel ? C'est ce qu'explorent Jane, Sutton et Kat à travers leurs vies professionnelles et personnelles qu'elles se partagent au quotidien. Malgré des histoires linéaires, qui se déroulent tout au long de la saison, chaque épisode aborde un sujet particulier de manière plus approfondi. Et c'est là où ça devient intéressant, car c'est le genre de série qui nous apporte de la matière à réflexion et qui nous donne un grand souffle d'air frais pour nous réveiller et titiller là où ça fait mal. 
source : Melty

Alors oui, parler de sexualité de manière décomplexée n'a rien de très novateur (merci "Sex and the City" qui a heureusement démocratisé le mouvement dans les années 90). Oui, on n'échappe pas à un casting de meufs fraîches et de beaux gosses en costards qui se retrouvent en afterwork... Mais en attendant, quelle série peut se vanter de parler de manière engagée du cancer du sein, du viol, d'homosexualité, du port du voile ou encore de l'immigration ? "The Bold Type" le peut, le fait bien, et le fait avec un œil bienveillant. Et rien que pour ça, je vous conseille de le découvrir.

Je précise aussi que je n'ai vu que la saison 1 pour le moment. Je viendrais donc peut-être vous faire un update sur les saisons suivantes, si j'estime que des modifications doivent être apportées ou que mon avis évolue. En attendant, si vous souhaitez vous faire une idée un peu plus imagée de ce dont je viens de vous parler, je vous invite à regarder le trailer de cette première saison.

Dites moi en commentaire si vous connaissiez déjà "The Bold Type", n'hésitez pas à donner votre avis dessus et à partagez les séries que vous regardez en ce moment. 
Bon lundi à tous !

source : Leserigraphe

lundi 17 septembre 2018

Pumpkin Autumn Challenge 2018 : Pile à Lire

Mieux vaut tard que jamais, je me lance enfin dans mon premier challenge de lecture, qui est le PUMKIN AUTUM CHALLENGE de Guimause. J'aime l'automne, j'aime les livres, j'aime les défis, c'est donc une équation parfaite pour sortir de ma zone de confort littéraire ! Si vous ne connaissez pas ce challenge, je vous invite à aller lire l'article qui l'explique et détaille les modalités de participation.Voici également les illustrations qui regroupe les informations des différents menus proposés :


Pour ma part, j'ai opté pour l'option n°2 "Une faim de loup-garou". L'idée c'est donc que je fasse 4 lectures qui correspondent à une sous-catégorie au choix de chaque menu. Après maintes et maintes tergiversations, j'ai enfin sélectionné une pile à lire qui me convient, donc sans plus attendre, je vous laisse la découvrir.


1) AUTOMNE FRISSONNANT 
Je choisis la sous-catégorie "Le cri de la Banshee" avec en tête de liste : "ÇA" (tome 1) de Stephen King. Je ne pense pas que j'ai besoin de le présenter car l'adaptation cinématographique de l'année dernière a déjà suffisamment rappelé à tout le monde l'existence de ce clown tueur qui a déclenché pas mal de phobies ! J'ai la chance d'avoir justement eu pour mon anniversaire le superbe coffret des 2 tomes, sorti en édition spéciale pour la sortie du film. Ils attendaient donc patiemment que je les sorte de ma pile à lire et voici une occasion parfaite pour le faire. Pas de négociations possibles, en terme d'angoisse/horreur/épouvante, ce livre convient parfaitement à ce menu. Voici ce que propose la 4ème de couverture :
"Enfants, dans leur petite ville de Derry, Ben, Eddie, Richie et la petite bande du « Club des ratés », comme ils se désignaient, ont été confrontés à l’horreur absolue : ça, cette chose épouvantable, tapie dans les égouts et capable de déchiqueter vif un garçonnet de six ans…Vingt-sept ans plus tard, l’appel de l’un d’entre eux les réunit sur les lieux de leur enfance. Car l’horreur, de nouveau, se déchaîne, comme si elle devait de façon cyclique et régulière frapper la petite cité.".





2) AUTOMNE DOUCEUR DE VIVRE
J'ai bien galéré avec ce menu, mais j'ai fini par trouver un titre qui me convenait pour la sous-catégorie "Trick or Treat". Il s'agit d"Halloween", le tome 8 de la série de BD Mélusine de Clarke et Gilson. Je ne l'ai pas encore entre les mains, mais il m'attend dans ma médiathèque. Cela fait plusieurs années que je n'ai pas mis le nez dans une BD de Mélusine mais si je me fie à mes souvenirs d'enfance je ne devrais pas être trop déçue par ce tome spécial Halloween. 
Résumé :
"Petite sorcière mignonne à croquer, Mélusine est jeune fille au pair dans un château de Transsylvanie. La maîtresse de maison est une fantôme au sale caractère, son mari un vampire plutôt cool et le valet de pied une sorte de créature de Frankenstein à l'intellect passablement limité. Bref, rien de très normal...".








3) AUTOMNE ENSORCELANT
Quelle meilleure occasion que la sous-catégorie "Balai Pattes !" pour lire enfin "Les sorcières du Clan du Nord" (tome 1) de Irena Brignull ? J'en ai tellement entendu parler que je ne peux pas l'ignorer encore longtemps. Il s'agit donc d'un roman jeunesse dont le résumé est le suivant :
"Poppy et Clarée ne pourraient avoir de vies plus différentes. Adolescente perturbée, Poppy se fait renvoyer de tous les lycées qu'elle fréquente ; Clarée est une jeune sorcière qui a du mal à trouver sa place au sein de sa communauté secrète. Un jour, pourtant, leurs destins se croisent. Elles deviennent amies et se retrouvent en cachette, se faisant découvrir leurs mondes respectifs. Mais le doute grandit dans l'esprit de Poppy : ces phénomènes étranges qui entourent sa vie depuis toujours, les catastrophes qu'elle provoque sans le vouloir... serait-il possible qu'elle soit elle-même une sorcière ? Et si son exil forcé dans le monde des humains avait un lien avec l'ancienne prophétie qui désignera la future reine des sorcières ?".






4) AUTOMNE ENCHANTEUR
J'avoue que quand j'ai découvert la sous-catégorie "Au détour de Brocéliande" je me suis dit que ma lecture récente de "Dans la forêt" (dont vous pouvez retrouver la chronique ici) aurait été parfaite ! J'ai d'ailleurs croisé le titre dans plusieurs piles à lire d'autres blogueuses pour ce challenge. Mais bon, en farfouillant bien dans ma bibliothèque j'ai fini par retrouver le polar "Dans les bois" d'Harlan Coben. C'est assez étonnant que je ne l'ai toujours pas lu car généralement les polars sont ceux que je dévore le plus vite, mais là, mystère... C'est le moment donc de le déterrer, avec l'histoire suivante :
"Été 1985, New Jersey. Paul Copeland est animateur d'un camp de vacances à la lisière des bois. Une nuit, il abandonne quelques heures son poste. Quatre jeunes en profitent pour s'éclipser, dont sa sœur, Camille. On ne les reverra plus. Seuls deux corps seront retrouvés. On attribuera leur mort à un tueur en série qui sévissait dans la région. Vingt ans plus tard. Paul est devenu procureur. Alors qu'il plaide dans une affaire de viol, il est appelé à identifier un corps. Stupéfait, il reconnaît formellement Gil Ferez, un des disparus. Pourquoi les parents de Gil s'obstinent-ils à nier son identité ? Et si Gil a été en vie tout ce temps, se pourrait-il que Camille le soit aujourd’hui ? Bien décidé à faire la lumière sur le drame qui n'a jamais cessé de le ronger, Paul va replonger dans les souvenirs de cette terrible nuit..."


Même si je démarre ce challenge un peu tard, j'ai jusqu'au 30 novembre pour effectuer ces 4 lectures donc ça ne me paraît pas trop insurmontable... Dites moi si vous participez aussi ou si vous avez envie de le faire, et n'hésitez pas à me partager vos lectures en cours. Bon lundi à tous !  



mercredi 12 septembre 2018

"Entre chiens et loups" de Malorie Blackman


"Je n'avais pas encore compris que les mots avaient un tel pouvoir. 
Ceux qui affirmaient que les mots ne pouvaient pas faire mal se trompaient."


Bon, je sais que je suis censée lire "Anna Karenine" en ce moment, mais vu le pavé qu'il représente, j'avoue que j'ai besoin de faire des petites pauses pour ne pas faire une indigestion de Tolstoï. Quant à "Chambre 507", j'ai un petit peu de mal a raccrocher les wagons. C'était une lecture sympa au bord de la piscine cet été, mais vu les belles découvertes littéraires que je fais en ce moment, la comparaison n'est pas favorable à J.C Hutchins et Jordan Weisman... Cependant je compte bien les achever dans peu de temps et vous en faire un article.

Toujours est-il qu'il y a deux semaines je suis tombée sur une chronique qui parlait d'"Entre chiens et loups" de Malorie Blackman. Bien que ce soit une lecture jeunesse, la couverture et le titre ont attisé ma curiosité. En me penchant sur le sujet, j'ai donc appris que ce roman prenait place dans une société où les privilèges sont accordés aux personnes noires (les Primas) tandis que les personnes blanches (les Nihilistes) font partie d'une classe socialement inférieure et traînent un lourd passé d'esclavagisme. C'est un roman qui a été publié en 2005 aux éditions Milan, et il s'agit du premier tome d'une saga de 4 livres.

"Imaginez un monde. Un monde où tout est noir ou blanc. Où ce qui est noir est riche, puissant et dominant. Où ce qui est blanc est pauvre, opprimé et méprisé. Un monde où les communautés s'affrontent à coups de lois racistes et de bombes. C'est un monde où Callum et Sephie n'ont pas le droit de s'aimer. Car elle est noire et fille de ministre. Et lui, blanc et fils d'un rebelle clandestin... Et s'ils changeaient ce monde ?"

Il n'en fallait pas plus pour me convaincre de rejoindre Sephie et Callum, les deux personnages principaux de l'histoire. Une fois que j'ai embarqué avec eux, difficile de décrocher du rythme haletant et des rebondissements fournis par l'auteure. Je l'ai dévoré en trois jours et j'ai hâte de voir ce que me réserve le second tome. 


Ce qui est intéressant ici c'est que, de prime abord, quand on lit la quatrième de couverture et qu'on entame le roman, on peut avoir l'impression d'embarquer dans une fiction dystopique, à la "1984" de George Orwell ou "La servante écarlate" de Margaret Atwood. En effet, il s'agit là d'une histoire reposant sur le principe qu'une partie d'un peuple en asservit et contrôle un autre, sous des motifs discriminatoires et totalement arbitraires. Pourtant, au fur et à mesure qu'on avance dans la lecture, on se rend compte qu'on est loin d'une dystopie aux caractéristiques exagérées. Au contraire, Malorie Blackman s'est fortement inspirée d'une réalité qui fait partie de notre histoire, de notre passé et même de notre présent. Cela est d'autant plus criant quand on voit que les personnes blanches ne peuvent pas partager les mêmes écoles que leurs homologues noirs. De même, quand on apprend que les relations amoureuses entre eux ne sont pas acceptées par la société. On n'est pas si loin d'une réalité d'il y a quelques années, et le mot "apartheid" ne peut que résonner d'une manière significative à la lecture de ces passages. Cette ségrégation raciale sur laquelle s'appuie l'auteure a existé et c'est ce qui rend le roman encore plus puissant.


"Je me posais des milliers de questions qui ne m'avaient jamais effleuré jusqu'à présent. Pourquoi dans les vieux films en noir et blanc, les hommes nihils étaient-ils toujours des brutes, des alcooliques ou les deux ? Et les femmes nihils, des servantes idiotes ? Les Nihils avaient été nos esclaves, mais l'esclavage avait été aboli depuis longtemps. On n'entendait jamais parler des Nihils à la télé, sauf dans les faits divers aux infos."

Callum se fait contrôler de manière agressive dans le train, sous prétexte que les employés trouvent cela louche qu'il ait pu se payer un billet en première classe. 
Les livres d'histoire étudiés ne s'appuient que sur des exemples de personnalités noires. 
Tous les pansements vendus dans le commerce sont marrons, car ils ont été pensés pour une seule partie de la population. 
Maintenant, inversez les rôles de ces trois exemples et prenez le temps de réfléchir. 

Voilà, c'est ça "Entre chiens et loups", une puissante prise de conscience qui nous permet de nous décentrer de notre nombril blanc. Et on en a grand besoin. Toute la force de ce roman est donc de réussir à nous faire réfléchir à ces questions là, à travers un fil conducteur qui est la romance impossible et interdite entre Callum et Sephie. Malorie Blackman nous livre ainsi un Roméo et Juliette en noir et blanc, avec une plume engagée et sans tabous. 
Au niveau du style d'écriture, on est loin d'une littérature très poussée au vocabulaire complexe. Pour le coup, on retrouve les codes de la littérature jeunesse, mais pour autant, les thèmes qui sont abordés, vous l'aurez compris, sont loin d'être orientés dans ce sens. C'est à dire qu'au delà du racisme, elle n'hésite pas non plus à aborder de manière frontale et sans filtres, des sujets tels que : l'alcoolisme, le suicide, les troubles psychique, l'avortement ou encore la violence du système judiciaire. 

Finalement c'est très bien que Malorie Blackman ait choisie de publier sous cette forme, puisque cela permet de la rendre accessible à un public plus jeune. Très honnêtement, si vous ne devez retenir qu'une seule chose de ce roman, c'est qu'il devrait être mis dans tous les programmes scolaires de notre pays, et même à l'échelle internationale. C'est une grande claque qui nous force à bousculer complètement nos représentations et à reconsidérer tout ce qui fait partie de notre histoire pour la regarder sous un éclairage différent. Si chaque enfant était éduqué dès le plus jeune âge en ayant accès à ce type d’œuvres, croyez moi que les discriminations et le racisme auraient du mal à résister à leur esprit critique et éclairé. 

"N'oublie pas une chose, Callum, quand tu flottes dans une bulle, la bulle finit toujours par éclater. 
Et plus la bulle t'a emmené haut, plus la chute est douloureuse."

samedi 8 septembre 2018

Quiche patate douce, pesto & graines de courge


Bon, c'est le week-end, vous émergez tout juste de sous la couette, la frange en épi et un œil à moitié ouvert... Et soudain, ô rage, ô désespoir ! Vous vous rappelez que tatie Ginette vient dîner à la maison ce soir... Oui, cette fameuse tatie qui vous reproche tout le temps de ne pas savoir cuisiner autre chose que des pâtes et qui ne comprend rien à votre tendance à réduire la viande dans votre alimentation. Pas de panique, ça va bien se passer, je vous partage aujourd'hui une recette simple et pourtant originale, qui fera oublier à tout le monde votre absence de capacités en cuisine. En plus, c'est un plat qui sent bon l'automne donc que demander de plus ?

Je tiens à préciser que mon blog n'a pas du tout pour vocation de vous inventer des créations culinaires extraordinaires. L'idée c'est plutôt de vous partager des recettes que je trouve, que je teste et que j'adapte. Donc je n'ai pas la prétention à concurrencer Mercotte, je réponds juste à une constatation faite dans mon entourage et dans mon quotidien. Car étant végétarienne depuis maintenant 4 ans, j'ai dû complètement ré-apprendre à manger et à équilibrer mon alimentation différemment. Ça peut paraître fastidieux et insurmontable vu de l'extérieur, mais en réalité ça n'a rien de bien compliqué. Dès lors qu'on sait par quoi remplacer les protéines animales et qu'on équilibre l'assiette en fonction, on se rend compte qu'il y a plein de possibilités. Et puis même sans parler d'un changement d'alimentation radical et de poser des étiquettes sur tout, j'encourage simplement à réduire déjà progressivement la consommation de produits animaux. A travers ces recettes, c'est donc aussi l'idée de vous montrer qu'on peut manger et faire manger végétarien sans même s'en rendre compte ;) Bref, il est temps de passer aux fourneaux car aujourd'hui je vous propose de réaliser la recette du livre "Les quiches de Marion" !

  ♦ 1 pâte brisée 
  ♦ 1 grosse patate douce
  ♦ 130g de pesto
  ♦ 2 oeufs + 1 jaune d'oeuf
  ♦ 7cl de lait d'amande (ou au choix : lait de vache, de soja...)
  ♦ 20cl de crème liquide de soja (ou crème fraîche liquide)
  ♦ 100g de crème de coco (ou crème fraîche épaisse)
  ♦ 50g de fromage râpé
  ♦ 50g de graines de courges
  ♦ 2 cuillères à café d'huile de noix (ou au choix : huile d'olive, de tournesol, de coco...)
  ♦ 1 cuillère à soupe de miel
  ♦ sel, poivre



1. Déroulez la pâte brisée dans un plat à tarte et parsemez le fromage dessus.


2. Faire cuire la patate douce au four, enroulée dans de l'aluminium (45min à 180°). Si vous n'avez pas le temps, mettez la plutôt à cuire dans de l'eau bouillante pendant 15 à 20 min.

3. La découper ensuite en petits dés et la faire revenir quelques minutes à la poêle dans l'huile de noix, en ajoutant le miel, du sel et du poivre.

4. Pendant que la patate douce dore, répartissez les graines de courge sur une plaque de cuisson et mettez les au four 10min (toujours à 180°), pour les faire torréfier. 


5. Dans un saladier, battez les deux oeufs + le jaune d'oeuf. Rajoutez ensuite le lait, la crème liquide et la crème épaisse. Mélangez ensuite avec le pesto, en ajoutant un peu de sel et de poivre. 


6. Une fois que la patate douce est cuite et dorée (vous devez pouvoir planter un couteau dedans sans difficulté), répartissez les petits dés au fond du plat, par dessus le fromage. Ajoutez ensuite la moitié des graines de courge.

                                           

7. Enfin, versez par dessus le contenu du saladier et parsemez le reste de graines de courge. 


8. Faire cuire 35min à 180°. 

9. Servir avec une petite salade verte et tomates cerises pour vraiment impressionner tatie Ginette.